Auteurs et résumés

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Un passé présent ? Des esprits animaux dans la poésie moderne et contemporaine

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Le théâtre des opérations promotionnelles de l’institut Benway

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Remerciements

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Une fonction propagandiste de la poésie scientifique à l’aube du XIXe siècle : le Lucrèce français de Sylvain Maréchal (1798)

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À PROPOS DES AUTEURS

 

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Guilhem Armand est Maître de Conférences en littérature française à l'Université de La Réunion. Il travaille principalement sur la littérature du XVIIe et du XVIIIe siècle. Son axe principal est le rapport entre fictions et sciences à cette période, avec quelques incursions au XIXe siècle. Il a, depuis, élargi cette problématique aux rapports qu'entretient la littérature avec le savoir et les stratégies de diffusion de la connaissance. Il travaille actuellement avec E. Sempère à une édition savante des Bigarrures philosophiquesdans le cadre de la publication des Œuvres complètesde Tiphaigne de La Roche, chez Garnier (dir. J. Marx). Il a notamment publié L’Autre Monde de Cyrano : un voyage dans l’espace du livre, Paris : Minard, 2005 et Les Fictions à vocation scientifique, de Cyrano à Diderot, Bordeaux : Presses Universitaires de Bordeaux, « Mirabilia », 2013.

 

Guillemette Bolens est professeur de littérature anglaise et comparée à l’Université de Genève. Sa recherche porte sur l'histoire du corps, les gestes, la cognition motrice et l'intelligence kinésique dans l’art et la littérature de différentes périodes. Elle a publié sur la kinésie aussi bien chez Homère, Virgile, Quintilien, Chrétien de Troyes, Chaucer, Joyce et Proust, que chez Buster Keaton, Jacques Tati et Charlie Chaplin. Elle est l’auteur de La Logique du corps articulaire(PUR 2000, Prix Latsis et Prix Barbour) et de The Style of Gestures: Embodiment and Cognition in Literary Narrative(Johns Hopkins University Press, 2012). Elle travaille en ce moment sur le Projet Balzan du Professeur Terence Cave, Literature as an Object of Knowledge, à l’Université d’Oxford ; et sur le Projet A History of Distributed Cognition, à l’Université d’Edimbourg. Elle a récemment publié L’Humour et le savoir des corps. Don Quichotte, Tristram Shandy et le rire du lecteur, Rennes : Presses Universitaires de Rennes, 2016.

 

Clara Castro est professeur remplaçant de philosophie à l’Université Fédérale du Paraná au Brésil. Sa thèse, soutenue à l’Université de São Paulo et publiée en portugais, porte sur la diversification des discours libertins chez Sade (Os libertinos de Sade, São Paulo, Iluminuras, 2015). Elle a fait trois ans (2010/2013/2016) de recherche doctorale et post-doctorale à l’Université Paris-Sorbonne, sous la direction de Michel Delon et de Jean-Christophe Abramovici, publiant « Échos de Sade chez Roberto Piva » (Revue Silène, nº 14, 2016) ; « Le principe de délicatesse et l’économie libidineuse chez Sade » (Revista de Filosofia Moderna e Contemporânea, vol. 3, nº 1, 2015); « Le fluide électrique chez Sade » (Dix-huitième siècle, nº 46, 2014) ; « L’idée de métempsycose chez Sade » (Rivista di Letterature Moderne e Comparate, vol. LXVII, fasc. 4, 2014) ; « Entre le crime et la sensibilité : les paradoxes du personnage de Clairwil » (Itinéraires, nº 2, 2013). Elle travaille actuellement sur les diverses notions d’âme matérielle chez Sade, en se centrant sur le mélange entre les physiques stoïcienne et atomiste, et la tradition de l’âme ignée télésienne. 

 

Guillaume Garnier est docteur en histoire moderne et contemporaine des universités de Genève et de Poitiers. Il a soutenu en 2011 une thèse sous la codirection de Frédéric Chauvaud (Université de Poitiers) et de Michel Porret (Université de Genève) intitulée L’oubli des peines. Dormir et rêver de 1700 à 1850 : pratiques, perceptions, conflits, publiée aux PUR en 2013 sous le titre : L’oubli des peines. Une histoire du sommeil (1700-1850).

 

Sabine Gruffat est enseignante agrégée de Lettres en classes préparatoires. Elle a soutenu en 1999 une thèse de doctorat intitulée « L’art du moraliste dans les Fables de La Fontaine : une esthétique du détour et de la négligence ».Elle a participé, en collaboration avec Jean-Charles Darmon, au volume La Fontaine,Fables,Livre de Poche, collection « Classiques », 2002. Elle collabore actuellement à l’édition des œuvres complètes de La Fontaine dirigée par Philippe Sellier pour la collection « Sources classiques », aux éditions Honoré Champion.

 

Sylvie Kleiman-Lafon est maître de conférences en littérature anglaise à l’Université Paris 8. Spécialiste du long XVIIIesiècle, elle s’intéresse principalement aux rapports entre la littérature et les sciences et à l’utilisation des formes littéraires dans le discours scientifique. Elle a récemment publié « The Healing Power of Words : Medicine as Literature in Bernard Mandeville’s Treatise of the Hypochondriack and Hysterick Diseases » inSophie Vasset (éd.) Medicine and Narration in the XVIIIth Century(Oxford, SVEC, 2013), pp. 161-181 ; « Ancient medicine, modern quackery: hypochondria and the rhetoric of healing » inPaddy Bullard et Alexis Tadié (éds.) The Ancients and the Moderns in Europe(Oxford, Oxford University Studies in the Enlightenment, 2016), pp. 189-203. Elle fera paraître en août 2017 une edition critique de Bernard Mandeville, A Treatise of the Hypochondriack and Hysterick Passions, (Springer, série International Archives of the History of Ideas) et en 2018 (avec Rebecca Anne Barr et Sophie Vasset (dir.) Bellies, Bowels, and Entrails in the XVIIIth Century(Manchester : Manchester University Press).

 

Micheline Louis-Courvoisier est historienne, professeur à la Faculté de médecine de l’université de Genève. Elle a écrit sa thèse sur la prise en charge des malades à l’hôpital général de Genève, dans la deuxième moitié du XVIIIesiècle (Soigner et consoler : la vie quotidienne dans un hôpital de l’Ancien Régime. Genève 1750-1820, Genève, Georg, 2000. Elle s’est ensuite intéressée à l’expérience de la souffrance telle qu’elle s’exprime dans les lettres de consultations envoyées au Dr Samuel Tissot entre 1750 et 1797 : notamment « Rendre sensible une souffrance psychique. Lettres de mélancoliques au 18esiècle ». Revue du XVIIIe siècle, vol. 47, 2015, p. 253-265. Dans le cadre de son enseignement en sciences humaines en médecine, elle a publié Les livres que j’aimerais que mon médecin lise, Genève, Georg, 2008, et tout récemment « Let’s talk about pertinence ». Bioethica Forum, 2016, p. 161-163, (avec Alexandre Wenger et Brenda Edgar).

 

Hugues Marchal est membre honoraire de l’Institut universitaire de France et professeur de littérature française à l’université de Bâle. Ses travaux portent principalement sur la poésie des 19e et 20e siècles, et sur les relations entre sciences et littérature. De 2007 à 2010, il a dirigé le projet Euterpe : la poésie scientifique en France de 1792 à 1939, lauréat d’un appel à projets « Jeunes chercheurs » de l’Agence nationale de la Recherche. Il a publié, entre autres, Muses et ptérodactyles : la poésie de la science de Chénier à Rimbaud (dir.), Paris, Seuil, octobre 2013. Et parmi ses articles les plus récents : « Une sente sinueuse et ardue: les sciences dans Les Enfances Chino », in B. Gorillot, F. Thumerel (eds), Christian Prigent: trou(v)er sa langue, Paris, Hermann éditeurs, 2017 ; « Baptiser Les Fossiles : un défi terminologique », Cahiers Flaubert-Maupassant, n° 32, 2016, p. 43-57 ; « L’Oulipo et la science » in Ch. Reggiani et A. Schaffner dir., Oulipo mode d’emploi, Paris, Champion, 2016, p. 31-45 ; « Delille plastique », in Philippe Auserve (éd.), Delille l’oublié, Clermont-Ferrand, Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, 2016, p. 71-96.

 

Marco Menin est maître de conférences en histoire de la philosophie à l’Université de Turin, où il est chargé de cours « histoire de la philosophie » et « anthropologie philosophique ». Il se consacre à la philosophie des Lumières, en particulier à Rousseau et à l’histoire de la ‘sensibilité’. Il travaille actuellement à un projet de recherche consacré à l’histoire philosophique des larmes, de Descartes au tournant des Lumières. Il a notamment publié: « Rousseau et le combat pour le rire : L’Humour entre gaieté et moquerie ». Eighteenth-century Fiction, vol. 26 (2014) pp. 693-713 ; « ‘Forcer l’économie animale à favoriser l’ordre moral’. La dialectique de la liberté et de la nécessité selon Rousseau : de La Morale sensitive à La Profession de foi. »Revue philosophique de Louvain, vol. 112 (2014), pp. 1-26 ; « ‘Who Will Write the History of Tears?’ History of Ideas and History of Emotions from Eighteenth-Century France to the Present »History of European Ideas, vol. 40:4 (2014), pp. 516-532. 

 

Christine Orobigt est professeur de civilisation et de littérature espagnoles des XVIe et XVIIe siècle à Aix-Marseille Université. Spécialiste de l’histoire de la médecine espagnole du Siècle d’Or, elle a, entre autres, publié L’humeur noire : mélancolie, écriture et pensée en Espagne au XVIe et au XVIIe siècle(Bethesda : International Scholars Press, collection Iberian Studies, 1997), ainsi qu’un grand nombre d’articles dont « La face noire de l’âme : la mélancolie ‘religieuse’ dans les textes spirituels et médicaux de l’Espagne des XVIe et XVIIe siècles. »  Études Épistémè [En ligne], 28 | 2015, mis en ligne le 11 décembre 2015, consulté le 27 juillet 2017. URL : http://episteme.revues.org/844 ; DOI : 10.4000/episteme.844; « De l’inventioà l’invention : la notion d’invention chez Huarte de San Juan, médecin et philosophe de la Renaissance tardive», Europe XVI-XVII, n°21, 2015, tome II (« Les savoirs, les savoir-faire et leurs transmissions », p. 333-349.

 

Francesco Panese est professeur associé en sociologie des sciences et de la médecine à l’Université de Lausanne. Sa recherche porte sur des thématiques variées, tant historiques et philosophiques, que sur la médecine et les neurosciences contemporaines. Parmi ses publications : « Rendre les choses signifiantes : fabrique du sens et politique d’exposition » in Exposer des idées, questionner des savoirs : les enjeux d’une culture de sciences citoyennes, Roger gaillard (éd.), Neuchâtel, Alphil 2010, p. 205-213 ; « Les esprits animaux au défi de l’expérience. Enquête sur un objet de connaissance en voie de disparition. » Dans I. Laboulais, M. Guédron. Ecrire les sciences. 2015, p. 15-30 ; « La « fabrique du cerveau » en tensions entres sciences sociales et neurosciences », SociologieS, 2016, p. 2-17, (avec Arminjon m., Pidoux V. ; « Visages de la diversité humaine entre science, esthétique, morale et politique », in Laurent Guido, Martine Hennard Dutheil de la Rochère, et al. (eds.) Visages. Histoires, représentations, créations. Lausanne : BHMS, 2017, pp. 301-325, avec B. Schaad, C. Bourdin et F. Stiefel, « Patients : sujets avant d’être partenaires »,Revue médicale suisse, 13(566), 2017, pp. 1213-16.

 

Martine Pécharman est chercheur en philosophie au CRAL, CNRS-EHESS. Ses dernières publications comprennent un livre en collaboration (Condillac, Essai sur l’origine des connaissances humaines, édition critique, introduction et notes par Jean-Claude Pariente et Martine Pécharman, Paris, Vrin, « Bibliothèque des Textes Philosophiques », 2014, 347 pages) et des articles, notamment sur les Platoniciens de Cambridge (« Cudworth on Self-Consciousness and the I Myself », Vivarium. A Journal for Medieval and Early-Modern Philosophy and Intellectual Life, 52, 2014, p. 287-314 ; « Deus nullibi otiosus. Henry More lecteur des Principia philosophiae de Descartes », Les Études philosophiques, 2015/3, sous presse), sur Hobbes (« La construction de la doctrine de l’espace chez Hobbes : spatium/spacelocus/place », in Locus-Spatium, a cura di Delfina Giovanezzi e Marco Veneziani, Firenze, Leo S. Olschki, « Lessico Intellettuale Europeo », 2014, p. 413-451 ; « Hobbes on Logic, or How to Deal with Aristotle’s Legacy », in The Oxford Handbook of Hobbes, edited by Kinch Hoekstra and Aloysius Martinich, OUP, 2016), sur Bayle (« Bayle et le droit naturel moderne », in Pierre Bayle et le politique, sous la direction de Xavier Daverat et Antony McKenna, Paris, Honoré Champion, « Vie des Huguenots », 2014, p. 97-131 ;  « Une pensée métaphysique si subtile. La défense par Bayle du plaisir comme bonheur », Les Études philosophiques, 2014/2, p. 253-286) et sur Arnauld (« Arnauld et la fausseté des idées. De la Troisième Méditationaux Quatrièmes Objections », Archives de philosophie, 79, 2015/1, p. 49-74), ainsi que l’entrée « Signe » dans L’Interprétation. Un dictionnaire philosophique, sous la direction de Christian Berner et Denis Thouard, Paris, Vrin, 2015, p. 454-471. 

 

Anne-Lise Rey est Maître de conférences en histoire des science et épistémologie à l’Université de Lille I. Elle a co-dirigé plusieurs projets dont le projet ANR « Philomed : La refonte de l’homme : découvertes médicales et philosophie de la nature humaine » (Pays germaniques, France, Grande-Bretagne, XVIIème-XVIIIème siècles), avec S. Buchenau et C. Crignon, 2009-2013, et a dirigé le projet de partenariat Lille/Gand : « La preuve entre argumentation et image. Projet ADA (Agir-Décider-Argumenter) »-MESHS 2012-2013. Elle a récemment édité la correspondance entre Leibniz et De Volder (Paris : Vrin, 2016) et co-dirigé avec Christian Leduc, François Pépin et Mitia Rioulx-Beaune, Leibniz et Diderot. Rencontres et transformations, Paris : Vrin-Presses Universitaires de Montreal, 2015.

 

Ionut Untea enseigne actuellement la philosophie en Chine, à la Southeast University de Nanjing, après un post-doctorat à l’université de Genève. Spécialiste de Thomas Hobbes et de philosophie politique, il a entre autres publié :« NewMiddleAgesorNewModernity? CarlSchmitt’sInterwarPerspectiveonPoliticalUnityinEurope »,dansMarkHewitsonetMatthewD’Auria(éds.),EuropeinCrisis.IntellectualsandtheEuropeanIdea,1917-1957,Oxford,NewYork : BerghahnBooks,2012 ; « From Human to Political Body and Soul : Materialism and Mortalism in the Political Theory of Thomas Hobbes » dans Matthew Landers et Brian Muñoz (éds.), Anatomy and the Organization of Knowledge, 1500–1850, Londres : Pickering and Chatto, 2012.

 

Mathilde Vaneckere est actuellement doctorante en littérature française du XVIIe siècle sous la direction de M. Jean-Charles Darmon. Elle prépare une thèse intitulée « Physique, stylistique et éthique du vivant dans la Correspondance de Mme de Sévigné ». Elle a publié «Lespetits drames du corps : esquisse d’une poétique du vivant dans la Correspondance de Madame de Sévigné», ATALA, n°16, septembre 2013 ; et «“Les moindres choses me sont chères” : l’invention du quotidien dans les Lettres de 1671 de Madame de Sévigné», Publication numérique du CÉRÉdI (Centre d’Études et de Recherche Éditer/Interpréter, Université de Rouen, journée d’agrégation du 13 décembre 2012).

 

Charles Wolfe est actuellement chercheur en philosophie et sciences morales à l’université de Gand. Il a notamment dirigé ou co-dirigé les ouvrages suivants : (dir.), Brain Theory.Essays in critical neurophilosophy, Londres, Palgrave MacMillan, 2014(avec Ofer Gal), The Body asObject and Instrument of KnowledgeEmbodied Empiricism in Early Modern Science, Dordrecht, Springer, collection « Studies in History and Philosophy of Science », 2010;(avec Sebastian Normandin), Vitalism and the scientific imagein post-Enlightenment life science, 1800-2010, Dordrecht, Springer, collection « History, Philosophy and Theory of the Life Sciences », 2013.




Quatrième de couverture

 
Les études réunies dans ce volume résultent du projet de recherche ANR-Jeunes Chercheurs « HC19 » et de deux manifestations scientifiques. Consacré à l’ « Histoire croisée des sciences et des littératures au XIXe siècle », le projet avait pour visée d’interroger les écarts possibles entre les critères de scientificité et de littérarité usités par les savants et les écrivains français pour définir, l’une par rapport à l’autre, leurs propres démarches. Les chercheurs de l’équipe ANR ont souhaité, au cours des deux manifestations, mettre leurs résultats et leurs présupposés à l’épreuve d’autres aires géographiques et d’autres ères historiques. Comment tenir compte de l’extrême variété des sens des mots de « science » et de « littérature » pour interroger l’histoire de leur séparation ? Le passage du système des « belles lettres » à celui de la « littérature » permet-il réellement de fixer l’origine historique de cette séparation ? Convient-il de subsumer l’étude des rapports entre les deux sphères sous des catégories plus générales telles que les « imaginaires », ou de considérer que les liens entre science et littérature jouent un rôle spécifique pour l’histoire de chacune de ces disciplines ou sont archétypales de certaines évolutions culturelles ? Peut-on ou doit-on échapper à l’illusion rétrospective lorsqu’on analyse, à partir des disciplines et des catégories qui sont les nôtres, les « sciences » et les « littératures » passées ? Qu’apporte la science au discours critique ? Ce volume ébauche un certain nombre de réponses à ces questions, à partir d’études de cas.
 



Entretien avec Thibault Rossigneux (Compagnie « Le Sens des mots »)

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La poésie scientifique du XIXe siècle : oppositions et réconciliations avec la religion

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Entretien avec Christine Dormoy (Compagnie « Le Grain »)

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Le commerce de la science : poésie scientifique et rhétorique publicitaire

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Entretien avec Jean-François Peyret

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Louis Bouilhet et Flaubert. L’invention d’une nouvelle poésie scientifique

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Entretien avec Vincent Barras

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René Ghil : altruisme et poésie scientifique

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Le surréalisme en équations

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Ouvroir de littérature virtuelle. Cent mille milliards de poèmes : avatar de la poésie scientifique ?

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Le Chant du styrène

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Francis Ponge : la méthode poétique

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Éviter l’obstacle cognitif : changements de paradigme et écriture augmentée

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Le « corps » des sciences et le « cerveau » de la poésie : quelques réflexions sur la poésie scientifique de Botho Strauss et Durs Grünbein

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Savoirs, littérature et théories de l’analogie (dans la Petite Cosmogonie portative de Queneau et Palomar de Calvino)

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