PLASTIR Revue Transdisciplinaire de Plasticité Humaine
«Plastir, mot introduit dans la langue française au XIXe siècle et intrinsèquement lié à la plasticité (ou plassein) depuis l’antiquité grecque,…
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THE MEDIA OF LIFE Concordia University, Montréal FRIDAY 11 SEPTEMBER 2009 4.30PM, ROOM LB 646 (1400 DE MAISONNEUVE BLVD WEST) Robert…
Journée d'études (ouverte au public) : Une poésie scientifique en prose ? Organisée par le groupe de recherche EUTERPE le 13…
Ô Nature, ô assemblage infini et éternel De tes essences et de tes espèces tu remplis l'univers D’une foule de corps et d’astres divers et d’innombrable soleils éclairant l'éternel De planètes, de lunes, et de comètes de météores, d’astéroïdes, les bolides très nets existants avec bornes, formes remplissant l’univers et qui est l’espace, le vide, l’infini, l’immatériel de toutes les essences, remplit le firmament de Dieu éternel, infini et tout-puissant des soleils innombrables éclairant le matériel des comètes et des lunes, peuplant l’univers des systèmes solaires, et planétaires composant des mondes innombrables et des terres espaces, essences-variés à l’infini et finis composant l’ensemble des mondes et des paradis. Le nombre des espèces est fini et incalculable rien de plus charmant ni de plus agréable.
« Notre mémoire est faite de fragments, de restes, de lambeaux et c’est pourquoi, comme les ruines, elle est toujours à même de nourrir notre nostalgie. Mais elle est animée, excitée, par des détails et c’est pourquoi elle dessine aussi notre avenir. » Jean-Bertrand Pontalis [[Perdre de vue, Gallimard, 1988, p. 384.]]
Un champ épistémique est une aire de la connaissance structurée par un savoir particulier, lequel se forme indissociablement par l'articulation d'un…
L' Épistémocritique désigne une méthode d’analyse littéraire qui a pour but de mettre en évidence les modes et les effets de…
Cette nouvelle livraison d' Épistémocritique invite à explorer des territoires du savoir dont les relations avec la littérature vont plus loin…
Qu'est-ce que savoir? A cette question, les philosophes, les épistémologues, les historiens, les sociologues, les neurobiologistes, bien d’autres encore, s’efforcent depuis longtemps d’apporter des réponses, tantôt modestes et tantôt ambitieuses, mais dont il faut convenir qu’elles ne sont pas parfaitement éclairantes. Peut-être faut-il alors explorer des voies différentes et s’interroger : est-il d'autres manières de forger un savoir sur le savoir ? La réponse proposée ici, grâce à Proust, est : oui -- par la littérature.
Lynn Margulis n’est pas n’importe qui. Quand elle évoque dans ses «contes» l’univers de la Big Science, c’est en connaissance de cause. Aujourd’hui couverte d’honneurs (ses archives sont conservées à la Bibliothèque du Congrès), elle a dû beaucoup se battre pour conquérir la place distinguée qui lui est désormais reconnue.
Il faut imaginer Alexander von Humboldt et Amédée Bonpland en Laurel et Hardy et Carl Friedrich Gauss en Buster Keaton. La comparaison n’est pas soutenable plus d’un bref moment, évidemment, mais elle permet de traduire un peu de l’impression produite sur le lecteur par le traitement tout à fait extraordinaire que Daniel Kehlmann fait subir à ces admirables savants de la grande époque.
Cette seconde livraison d' Épistémocritique permet d'appréhender l'étendue et la vitalité du domaine de recherche représenté par l'ensemble des interrogations que…
Stendhal: Armance entre savoir et non-savoir; Jarry: Les Savoirs du Surmâle; La Raison de Roussel; L'Initiative aux mots: la linguistique de…
La littérature s’est-elle jamais distinguée de l’univers des savoirs au point de s’en isoler totalement ? Ne trouve-t-on pas au contraire,…