Éditorial
Cette seconde livraison d' Épistémocritique permet d'appréhender l'étendue et la vitalité du domaine de recherche représenté par l'ensemble des interrogations que…
Cette seconde livraison d' Épistémocritique permet d'appréhender l'étendue et la vitalité du domaine de recherche représenté par l'ensemble des interrogations que…
E.A. Poe s'est souvent penché sur les mécanismes de la pensée [1]. En témoignent des textes tels que « Le Scarabée d’or [2] », « Quelques…
Un soir, préparant le feu pour la soupe de poissons au bord du Danube, Pétrovitch répondit à son ami, le pêcheur Miloutin Krstitch qui lui demandait les raison de sa vocation pour les mathématiques : « Les mathématiques sont la poésie suprême ».
Grâce à l’arrivée de l’imagerie fonctionnelle il y a vingt-cinq ans et aux progrès continus réalisés depuis, il est maintenant possible de dresser la carte directement de l’activité du cerveau durant des tâches de perception et d’activité chez des sujets normaux. Fondée sur ces découvertes, la dernière décennie a ainsi observé des bouleversements majeurs dans la compréhension du cerveau musical. Dans cet article, nous nous sommes cependant limité aux relations de la neurologie essentiellement avec la littérature et les arts visuels.
Dans le théâtre britannique contemporain, les références aux sciences dures sont de plus en plus fréquentes. Le dramaturge Tom Stoppard a été un précurseur de cette fascination du théâtre pour les sciences: dans une écriture qui combine le désir de logique à l'incertitude de la connaissance, les théories mathématiques et physiques lui ont servi aussi bien de modèles que de métaphores structurantes permettant de renouveler la fable dramatique.